Introduction – Un paradigme à interroger
Depuis le XIXe siècle, la médecine moderne repose sur un postulat central : les maladies infectieuses seraient causées par des agents extérieurs — les microbes, puis les virus — se transmettant d’un individu à l’autre par contagion. Cette vision, cristallisée par les travaux de Louis Pasteur, a modelé notre système de santé et justifié le développement massif des campagnes de vaccination.
Mais cette certitude vacille dès lors qu’on confronte les données historiques, expérimentales et environnementales à une lecture plus large. La pandémie de grippe espagnole de 1918 en est un exemple frappant : sa diffusion mondiale extrêmement rapide, la simultanéité des pics de mortalité dans des régions isolées, et l’échec répété des tentatives de reproduction expérimentale de la maladie remettent en cause la seule thèse de la contagion humaine. Parallèlement, des corrélations frappantes entre les grandes épidémies et les vagues d’innovation technologique (radio, radar, satellite, téléphonie mobile) suggèrent un rôle environnemental sous-estimé, voire nié.
Et si les virus n’étaient pas des ennemis extérieurs, mais les manifestations d’un mécanisme de détoxification cellulaire face à un stress systémique ? Et si les cellules humaines, en interaction permanente avec le champ électromagnétique terrestre, entraient en déséquilibre lorsqu’un champ artificiel venait rompre leur cohérence vibratoire ? Les ARN, fragments protéiques et autres « virus » observés dans le milieu extracellulaire seraient alors des déchets expulsés par l’organisme pour se régénérer, et non la cause première de la maladie.
Comme le disait Antoine Béchamp, contemporain et rival de Pasteur :
« Le microbe n’est rien. Le terrain est tout. »
Cette hypothèse, bien que marginalisée, s’appuie sur des observations empiriques rigoureuses et invite à une relecture complète de notre compréhension des épidémies. Elle questionne non seulement l’origine des maladies dites virales, mais aussi la pertinence des réponses médicales fondées sur la peur, l’éradication et la vaccination systématique.
À cette remise en cause du paradigme viral s’ajoute une réalité bien documentée : de nombreuses épidémies bactériennes n’étaient pas le fruit d’une contagion interhumaine, mais d’une contamination environnementale, souvent par voie hydrique ou alimentaire. Leur résolution n’est pas venue d’un vaccin, mais de l’assainissement, du traitement de l’eau, de l’hygiène ou de la régulation des déchets.
Enfin, un troisième volet mérite d’être exploré : celui des pollutions chimiques, qui ont déclenché dans certaines régions des syndromes collectifs ou des pathologies épidémiques non transmissibles, mais environnementales.
Crises sanitaires causées par pollution chimique :
Cas: Minamata
Lieu & Date : Japon, 1950
Polluant principal : Mercure (déchets industriels dans la mer)
Symptômes / Maladies : Neuropathies graves, troubles moteurs, cécité, décès
Solution ou effet : Interdiction du rejet industriel, indemnisation des victimes
Cas: Itai-itai
Lieu & Date : Japon, années 1960
Polluant principal : Cadmium dans l’eau (mines)
Symptômes / Maladies : Ostéomalacie, douleurs osseuses, fractures
Solution ou effet : Régulation minière, approvisionnement en eau saine
Cas: Flint Water Crisis
Lieu & Date : Flint, Michigan, 2014-2016
Polluant principal : Plomb dans l’eau potable (corrosion des canalisations)
Symptômes / Maladies : Problèmes neurologiques, troubles cognitifs (enfants)
Solution ou effet : Changement du réseau, traitement de l’eau
Cas: Syndrome de la vallée
Lieu & Date : Vallée de la Meuse, Belgique, 1930
Polluant principal : Dioxyde de soufre + particules fines (usines sidérurgiques)
Symptômes / Maladies : Asphyxies, décès par insuffisance respiratoire
Solution ou effet : Début de la législation sur pollution de l’air
Cas: Seveso
Lieu & Date : Italie, 1976
Polluant principal : Dioxine (accident chimique industriel)
Symptômes / Maladies : Cancers, malformations congénitales, lésions cutanées
Solution ou effet : Évacuation, surveillance sanitaire à long terme
Cas: Love Canal
Lieu & Date : USA, 1978
Polluant principal : Décharges toxiques (produits chimiques dans un lotissement)
Symptômes / Maladies : Avortements, anomalies congénitales, cancers
Solution ou effet : Fermeture de la zone, relogement, nouvelles lois (Superfund)
👉 C’est dans cette perspective élargie — où le terrain, l’environnement électromagnétique, chimique ou bactériologique sont centraux — que nous allons revisiter les grandes pandémies modernes, à commencer par la grippe espagnole, à la lumière des données expérimentales, environnementales et historiques disponibles.
Introduction La grippe espagnole de 1918-1919 est l’une des pandémies les plus meurtrières de l’histoire moderne. Officiellement attribuée à un virus grippal de type H1N1, elle aurait fait entre 50 et 100 millions de morts dans le monde. Pourtant, des anomalies dans la vitesse et la synchronisation de la propagation, ainsi que la nature inhabituelle de certains symptômes, ont amené certains chercheurs à envisager des causes environnementales parallèles, comme l’apparition des premières stations radio haute puissance. Cet article propose une analyse chronologique, géographique et critique des événements clés de cette période, et explore également des éléments peu connus mais troublants, issus d’expériences médicales et de corrélations technologiques rarement mises en lumière.
1. Chronologie générale de la pandémie
Mars 1918 : premiers cas au camp militaire de Funston (Kansas, USA).
Avril à juin 1918 : diffusion en Europe via les troupes américaines.
Été 1918 : propagation mondiale, notamment en Afrique, en Asie et en Océanie.
Octobre 1918 : pics de mortalité quasi simultanés dans plusieurs régions.
1919 : troisième vague plus faible mais persistante dans certaines régions.
2. Déploiement militaire américain en Europe et absence de transmission directe internationale
Les troupes américaines ont commencé à débarquer en France en juin 1917, avec un renforcement massif en 1918. Elles ont opéré presque exclusivement en France jusqu'à l'armistice, sans stationnement notable au Royaume-Uni, en Allemagne ou ailleurs en Europe continentale avant novembre 1918. Le transport des troupes se faisait essentiellement par navires transatlantiques, escortés pour éviter les sous-marins allemands, et leur présence sur le front occidental s’est concentrée autour des zones logistiques de Saint-Nazaire, Brest, Tours et Chaumont.
Or, un fait majeur interpelle : malgré cette concentration géographique des troupes, des foyers épidémiques se sont déclarés quasiment simultanément dans des régions où aucun contact direct n’a pu être établi avec ces soldats. Des villes comme Londres, Berlin, Bombay ou encore certaines îles du Pacifique ont été frappées à quelques jours ou semaines d’intervalle, sans corridor logistique ou commercial actif et soutenu avec la France. Cette constatation rend problématique l’hypothèse d’une transmission virale par contact humain classique.
Or, un fait majeur interpelle car malgré cette concentration géographique des troupes, des foyers épidémiques se sont déclarés quasiment simultanément dans des régions où aucun contact direct n’a pu être établi avec ces soldats.
C'est le cas de Londres, où le pic de mortalité survint entre le 20 et le 25 octobre, soit quelques jours après celui observé à Paris et à Lyon (15-20 octobre), alors même que la capitale britannique n'hébergeait aucune base américaine.
Plus marquant encore, Berlin, en territoire ennemi et sans aucun lien avec les forces alliées, connut son pic de mortalité entre le 25 et le 28 octobre. La situation est semblable dans des zones éloignées et isolées, comme Bombay (début novembre) et les îles Samoa (fin novembre), qui furent touchées avec un décalage notable sans avoir été directement reliées à un réseau logistique militaire.
Ce phasage temporel montre que la diffusion de la maladie a répondu à une logique plus complexe que celle des déplacements militaires et de la présence des troupes.
Des études cartographiques (voir : Johnson & Mueller, Updating the accounts: global mortality of the 1918–1920 'Spanish' influenza pandemic, Bulletin of the History of Medicine, 2002) et des modèles épidémiologiques modernes n’ont pas réussi à rendre compte de cette diffusion à vitesse planétaire sans l’aide de vecteurs de transport plus rapides ou omniprésents.
Un article du National Geographic (2020) rappelle que même des villes ayant pris des mesures de confinement strictes ont été frappées en même temps que d’autres ne l’ayant pas fait, ce qui interroge la seule piste de la contagion humaine.
Enfin, les travaux de Crosby (1976) sur l’impact des ports montrent que certaines zones portuaires majeures n’ont pas été touchées plus tôt que des régions enclavées, ce qui contredit la logique d’une diffusion maritime progressive.
3. Synchronisation mondiale des pics de mortalité
Des pics majeurs sont observés autour de la même période :
Boston (USA) : début octobre 1918
Paris, Lyon : mi-octobre
Londres, Berlin : fin octobre
Inde, Afrique : novembre
Océanie : fin 1918 à début 1919
Cette synchronisation semble trop rapide pour être expliquée uniquement par les déplacements humains de l’époque (bateau, train, cheval). La vitesse de propagation observée défie les modèles classiques d’épidémiologie contagieuse, surtout dans des régions sans contact logistique ou commercial direct.
Pour mieux illustrer ce phénomène, voici les courbes de mortalité hebdomadaire de plusieurs grandes régions, compilées à partir des registres civils et archives historiques :
4. L’hypothèse électromagnétique Certains chercheurs, dont Arthur Firstenberg (The Invisible Rainbow), avancent que la mise en service de stations radio transatlantiques à haute puissance (notamment à New Brunswick, USA) à l’été 1918 aurait modifié le champ électromagnétique terrestre. Cette perturbation pourrait avoir affaibli les systèmes biologiques humains, causant une pandémie d’origine multifactorielle. Ces installations militaires, fonctionnant sur ondes longues et très puissantes (plusieurs centaines de kilowatts), auraient agi à l’échelle planétaire et en continu, coïncidant avec l’intensification de la mortalité.
Dans The Invisible Rainbow, Firstenberg développe une hypothèse étendue selon laquelle les grands bonds dans l’électrification de la planète sont régulièrement suivis de pandémies majeures. Il identifie les corrélations suivantes :
Grippe de 1889-1894 : Début de l’électrification des villes (courant alternatif).
Apparition soudaine d’une "grippe nerveuse" à symptômes atypiques (neurologiques plus que respiratoires). Le déploiement à grande échelle du courant alternatif dans les grandes villes aurait entraîné une modification de l’environnement bioélectrique.
Grippe espagnole (1918-1920) : Introduction massive de stations radio longue portée militaires (ondes longues).
Les premiers cas apparaissent à la Naval Radio School à Cambridge, Massachusetts. Symptômes : saignements, ralentissement du pouls, coagulation anormale. Des tests de contagion par exposition à des malades échouent à reproduire la maladie.
Grippe asiatique (1957-58): Mise en service d’un réseau radar mondial de surveillance.
À la suite de l’installation de systèmes radar très puissants, apparition d’une nouvelle pandémie. L’auteur suggère un lien entre la densité de rayonnement radar et la propagation de la maladie.
Grippe de Hong-Kong (1968): Lancement d’un nombre important de satellites militaires à haute altitude (programmes IDCSP/DSCS).
Introduction de signaux micro-ondes dans la magnétosphère terrestre. Une pandémie mondiale apparaît peu après, sans explication virale pleinement convaincante.
Syndrome du Golfe (1990): Multiplication des communications militaires sans fil.
Les soldats exposés à des systèmes de communication avancés développent fatigue chronique, douleurs, et troubles neurologiques. L’auteur évoque un syndrome électromagnétique déguisé.
Grippe H1N1 (2009): Extension du réseau 3G / 4G et Wi-Fi dans les villes.
Bien que non explicitement corrélé par l’auteur, cette période correspond à un saut technologique dans la densité des ondes pulsées haute fréquence.
COVID-19: Wuhan a été l’une des premières villes chinoises à expérimenter la 5G.
Dès l’automne 2019, en vue des préparatifs pour les jeux militaires mondiaux, des stations de base 5G ont été installées dans des zones spécifiques (parcs technologiques, zones économiques, etc.).
Les premiers cas officiels de pneumonies atypiques à Wuhan sont apparus fin décembre 2019.
Firstenberg soutient que ces corrélations ne sont pas accidentelles, mais liées à une perturbation de l’environnement bioélectrique humain, dont le système nerveux, cardiaque et immunitaire repose sur des équilibres électriques très fins.
Il mentionne également des études montrant que des espèces animales (oiseaux migrateurs, chauves-souris, abeilles) présentent des altérations comportementales ou immunitaires en présence de champs électromagnétiques artificiels.
Ce modèle repose sur l’idée que certains virus pourraient ne pas être la cause initiale, mais plutôt des indicateurs ou déclencheurs opportunistes, se développant sur un terrain fragilisé.
Bien que ce modèle reste contesté et ne soit pas reconnu officiellement par les institutions sanitaires internationales, il interpelle par la concordance temporelle des faits et mérite une exploration pluridisciplinaire.
Courbes et données officielles
La grippe espagnole reste un mystère partiel. Si la thèse virologique reste dominante, des éléments troublants ouvrent la voie à une hypothèse environnementale. Une relecture à la lumière de l’histoire technologique (radio, champs électromagnétiques), conjuguée aux anomalies médicales et chronologiques observées, peut enrichir notre compréhension et nourrir une vigilance critique face aux bouleversements environnementaux actuels. Il est nécessaire de rouvrir le dossier avec des outils multidisciplinaires, mêlant histoire, épidémiologie, physique de l’environnement et biologie systémique.
Pourquoi certaines expériences d’inoculation à l’époque ont-elles échoué à reproduire la maladie ?
Plusieurs expériences médicales rigoureuses ont été menées par des équipes de la marine américaine en 1918 et 1919, notamment à Boston, à San Francisco et à Portsmouth. Des médecins militaires, cherchant à comprendre la transmission du virus, ont volontairement exposé des groupes de volontaires sains (souvent des marins ou des prisonniers militaires) à des patients gravement malades. Les méthodes comprenaient l’instillation de mucus nasal infecté, la toux dirigée à proximité immédiate, et même la transfusion de sang ou le contact direct prolongé avec les malades. Malgré ces conditions, aucun cas de maladie n’a pu être provoqué de manière fiable.
Ces résultats ont déconcerté les scientifiques de l’époque. L’échec de la reproduction expérimentale de la maladie remet en question le modèle strictement viral, au moins pour cette vague pandémique spécifique. Ces faits sont documentés, entre autres, dans les publications du Journal of the American Medical Association (JAMA) de 1919, et dans les rapports du U.S. Navy Health Service.
Pourquoi les symptômes neurologiques et hémorragiques sont-ils si peu typiques d’une grippe classique ?
La simultanéité planétaire des pics n'est pas compatible avec une contagion virale.
Conclusion
La pandémie de grippe espagnole demeure l’un des épisodes sanitaires les plus marquants du XXe siècle, non seulement par son ampleur, mais aussi par les nombreuses zones d’ombre qui l’entourent. L’analyse des données historiques, épidémiologiques et technologiques révèle des incohérences dans la narration traditionnelle centrée uniquement sur la transmission virale. La vitesse de propagation, les échecs expérimentaux d’inoculation, la simultanéité planétaire des pics de mortalité et la coïncidence avec l’apparition de puissantes infrastructures électromagnétiques invitent à reconsidérer le phénomène dans une approche systémique.
L’apport d’auteurs comme Arthur Firstenberg ne doit pas être vu comme une opposition simpliste à la science, mais comme une tentative d’élargir le champ d’investigation en tenant compte des facteurs environnementaux invisibles mais omniprésents dans notre modernité technologique. L’hypothèse selon laquelle des perturbations électromagnétiques massives pourraient altérer la santé humaine à grande échelle mérite au minimum une exploration rigoureuse et interdisciplinaire.
Sans rejeter l’existence d’agents infectieux, cette relecture historique suggère que l’environnement électromagnétique, les pollutions chimiques ou hydriques, et l’état du terrain cellulaire jouent un rôle souvent plus décisif que les pathogènes eux-mêmes dans l’apparition des épidémies.
C’est dans cette logique qu’il devient essentiel d’agir à la source : en restaurant la capacité naturelle de régénération cellulaire. Les recherches récentes sur les molécules de signalisation redox montrent qu’elles jouent un rôle fondamental dans la communication cellulaire, la neutralisation des radicaux libres et la détoxification intracellulaire. En complément, le glutathion, principal antioxydant endogène, est reconnu pour sa capacité à soutenir le système immunitaire et à atténuer les effets secondaires liés à des expositions toxiques, y compris ceux rapportés après vaccination.
Pour approfondir ce sujet et comprendre comment le glutathion et les antioxydants cellulaires peuvent renforcer votre terrain face aux stress environnementaux et aux effets indésirables post-vaccinaux, consultez cet article de référence :
Effets secondaires des vaccins et rôle du glutathion.
Une médecine du futur ne pourra ignorer ces paramètres fondamentaux, et devra intégrer pleinement le terrain, l’environnement et la bioénergie pour prétendre protéger efficacement la santé humaine.
AUTEUR…
Je m’appelle Patrick, j’ai 65 ans, et depuis plus de 40 ans, je chemine avec passion sur les sentiers d’un art de vivre fondé sur l’écoute du corps, la conscience, et la confiance en notre capacité naturelle à nous régénérer.
Mon parcours est celui d’un homme libre, curieux, et profondément engagé dans l’exploration de la santé au sens large — physique, émotionnelle, mentale et spirituelle. Je ne suis ni médecin ni scientifique de formation. Mon expérience est empirique, forgée par l’observation, l’expérimentation personnelle et un besoin viscéral d’autonomie dans un monde médical souvent déconnecté du vivant.
Je ne prétends pas détenir la vérité. Mon intention est d’ouvrir des pistes de réflexion, de partager des outils simples et accessibles, et d'inviter chacun à reprendre le pouvoir sur sa santé. Mon approche ne cherche pas à s’opposer à la médecine conventionnelle, mais à élargir le regard, à remettre le corps au centre, à lui faire confiance.
Je n’ai rien à vendre. Ce que j’offre, c’est une vision, une expérience de vie, un témoignage sincère. Une invitation à penser autrement, à ralentir, à ressentir, à vivre en accord avec soi-même, dans un monde qui en a plus que jamais besoin.
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